C’est triste à dire, mais le Français moyen a peur d’investir en capital-risque (en startups).
Je trouve ça très dommage.
Car investir en startup est le type d’investissement qui surperforme les autres actifs.
Il est (très) loin devant la bourse ou l’immobilier par exemple.
(Et je ne parle même pas du Livret A et des autres formes d’”investissement” proposés par les banques…)
(Source : FranceInvest)
Mais cette peur d’investir en startups est totalement justifiée.
Car le capital-risque est risqué par définition (logique).
Le Graal serait de pouvoir minimiser les risques afin de sécuriser tes placements, tout en visant les multiples qu’on ne voit nulle part ailleurs (c’est-à-dire ceux de l’investissement en startups).
C’est aussi mon objectif.
Et c’est pour ça que je vais te partager 5 questions à te poser systématiquement si tu veux réduire considérablement le risque de tes investissements en startups.
(Ce sont celles que je me pose à chaque fois moi-même, en plus de mes 9 critères gagnants Leonis.)
Si tu envisages d’investir dans une startup (avec Leonis ou non), au lieu de simplement t’en tenir aux investissements plus “classiques” par peur, pose-toi ces 5 questions.
(Tu vas voir que la 5e est clairement sous-cotée !)
Ces questions te permettront de découvrir les risques potentiels de la startup.
Et elles pourraient bien t’aider à trouver un (joli) investissement caché que d’autres investisseurs auraient négligé.
Mais trêve de bavardage, place à ces 5 questions.
1 – Cette startup résout-elle un réel problème du marché ?
Quand tu regardes les pitchs des fondateurs, tu verras qu’il y a plein d’idées géniales…
Sur le papier.
Mais si ces startups ne résolvent pas un problème réel du marché, il est peu probable que les investisseurs en tirent profit.
Demande au fondateur de te fournir des données précises sur les tests préalables à la commercialisation (Proof Of Concept, Minimum Viable Product, etc.), les premières ventes et les études de marché.
Le but : déterminer s’il existe un réel intérêt pour le produit ou le service proposé.
Le marché te dira toujours s’il existe un besoin/désir pour un produit.
C’est pourquoi, lors d’un deal Leonis, je te dis toujours quelle est la taille du marché.
Par exemple, pour Alinea (une app spécialisée dans l’investissement pour les femmes), je te disais que le marché était évalué à plusieurs dizaines de milliards de dollars aux US (car il y a énormément de femmes intéressées par l’investissement aux États-Unis).
2 – L’équipe a-t-elle les compétences nécessaires pour se développer ?
Les entreprises qui n’évoluent pas échouent.
Quand tu envisages d’investir dans une startup, cherche attentivement les signes indiquant que l’équipe en place possède les compétences nécessaires pour itérer et s’améliorer à mesure que l’entreprise se développe.
Demande par exemple comment le processus de vente a changé depuis sa création.
Combien d’itérations du produit ont été produites ?
Le produit s’améliore-t-il dans le temps ?
Demande aussi aux membres de l’équipe de te décrire leur processus d’apprentissage et d’itération.
S’ils ont des processus précis pour tracker ces données, c’est un des signes les plus encourageants (qu’ils ont les compétences nécessaires pour s’améliorer dans la durée).
Dans tous les cas, il ne faut pas que ça se soit figé. Au contraire.
3 – Des clients achètent-ils le produit/service ?
Une fois que la startup a prouvé que son produit ou service résout un problème réel du marché, l’étape suivante consiste à prouver que les clients l’achèteront réellement.
Prouver l’opportunité n’est pas facile.
Mais ça peut être fait avec une connaissance profonde des problèmes du marché cible.
Les taux de conversion donneront une idée finale de la pertinence du produit ou du service sur le marché. Et de la volonté des clients de payer pour cela.
Autrement dit, c’est le client, en sortant sa CB, qui valide si la solution de la startup est bonne ou mauvaise.
Rien d’autre.
(Oui, j’imagine que tu as reconnu là mon critère Leonis de la traction commerciale).
Pour reprendre l’exemple d’Alinea (la startup Leonis dont je te aprlais plus haut), la traction lors du deal était déjà de 1,8M$ d’ARR.
À ce stade, on parle de MVP (Minimum Viable Product : la startup a prouvé concrètement que le marché avait un réel besoin de sa solution).
4 – Existe-t-il un plan de mise à l’échelle ?
Une startup à succès ne reste une startup qu’un certain temps.
Si tu cherches une startup capable de transformer ton investissement en quelque chose de bien plus grand (en visant comme moi un multiple de x10, x100, voire x1000), la boîte DEVRA évoluer efficacement.
Le tout sans imploser sous son propre poids avec des difficultés de croissance en cours de route.
Pour vérifier ça, demande-toi comment les fondateurs envisagent de gérer leur croissance (quel que soit le stade auquel ils se trouvent actuellement).
Ont-ils un carnet d’adresses fourni ?
Élargissent-ils leur marché en continu ?
Embauchent-ils davantage de personnes en vue de leur expansion ?
Même si la startup n’est peut-être pas encore en mesure de se développer, tu dois t’assurer qu’elle a un plan en place et qu’elle prend déjà des mesures pour être prête le moment venu.
Et plus ce plan est scalable, mieux c’est.
(Sinon, les coûts de la startup vont augmenter proportionnellement au fur et à mesure qu’elle grossit. Et on ne veut pas ça.)
C’est pour ça que j’investis quasi-exclusivement dans des solutions tech (comme l’app d’Alinea), qui sont 100% scalables (avec des gains potentiellement infinis !).
5 – Les fondateurs ont-ils une stratégie de sortie ?
Même si tu investis en pre-Seed ou en Série A (levée de fonds initiale), l’un des moyens les plus importants de réduire les risques de ton investissement est de t’assurer que la startup est sur la bonne voie pour un exit positif.
Car je te rappelle que tu ne revois ton argent (et le multiple qui va avec) uniquement quand la boîte fait un exit (rachat ou introduction en bourse dans la plupart des cas).
Pour y parvenir, l’entreprise doit fonctionner parfaitement par elle-même, avec des processus déjà en place pour générer des bénéfices de façon fiable et à long terme.
Demande aux fondateurs si leur plan à long terme est de faire une IPO, de fusionner avec une autre société ou de vendre purement et simplement.
L’équipe élabore-t-elle déjà des plans pour atteindre cet objectif ?
En tant qu’investisseur, disposer d’une idée de porte de sortie est essentiel si tu veux avoir un ROI (très) positif.
Et une estimation (approximative) de quand tu pourras faire cet exit et dans quelles conditions.
C’est pour ça que dans chaque deal que je te partage, je te détaille très précisément les opportunités crédibles d’exit pour la boîte en question.
(Je le fais en général dans mon 2e email du deal que je t’envoie.)
Dans le cas d’Alinea, par exemple, je te montrais alors, preuves à l’appui, que 4 grosses entreprises du secteur (Robinhood, Webull, Titan. et Ellevest) pourraient bien décider d’acheter notre startup un jour.
Voilà, avec ces 5 questions, tu es plus armé que 90% des investisseurs en startups.
(C’est-à-dire ceux qui misent au petit bonheur la chance, car de toutes façons, “investir en startups, c’est risqué”.)
Car je sais parfaitement qu’investir en startups est risqué par nature.
Tout le monde le dit.
C’est pourquoi, depuis mes débuts, je fais en sorte de mitiger au maximum ce risque.
Grâce à mon expérience (10 ans à analyser plus de 3 000 startups par an).
Et à mes 9 critères gagnants, que j’ai affiné de deals en deals.
Je te rappelle aussi que je n’investis pas n’importe où.
Avec les membres du Club, on investit désormais uniquement au Y Combinator (ou YC).
C’est le plus grand incubateur de la planète, où sont passés Stripe (100 Mds$), Airbnb (94 Mds$), Dropbox (11 Mds$), Coinbase (38 Mds$), Twitch (Acq. Amazon 1 Mds$), et tant d’autres qui font maintenant partie de ton quotidien.
Tu as donc le meilleur des 2 mondes avec Leonis si tu veux diversifier : des risques relativement limités pour viser de (très) gros multiples avec ma méthode de sélection.
On vise des multiples de x10, x100, voire x1000 lors des exits.
Nos 24M$ investis au Y Combinator en 3 ans valent aujourd’hui 50M$ (soit x2,1 et +27% de rentabilité annuelle).
Si tu veux que je t’en dise plus sur cette méthode (pour voir si elle peut s’intégrer à ta stratégie d’investissement ou non), je t’invite à booker un call avec moi.
C’est sans engagement bien sûr (je ne forcerai jamais quelqu’un à investir avec moi).
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(Uniquement pour les investisseurs un minimum sérieux.)
Prends soin de toi (et de ton portefeuille),
Gabriel
PS : Si tu veux commencer par découvrir ma stratégie complète, avec mes critères de sélection pour dénicher ces 1% des meilleures startups (et mes secrets d’investisseurs)…
Je donne tout dans mon dernier livre, qui est disponible dans toutes les librairies.
3500 investisseurs malins ont lu mon premier livre (préfacé par Xavier Niel, 9ème fortune française).
Ma mission : Te donner accès aux investissements réservés aux ultra-riches et créer 1000 millionnaires.
Tu veux investir dans les meilleures startups de la Silicon Valley ?
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Nos 24M$ investis au Y Combinator en 3 ans valent aujourd’hui 50M$ (soit x2,1 et +27% de rentabilité annuelle).
“J’ai rejoint le club il y a 3 ans et j’ai pu faire une dizaine d’investissements par an dans des startups aux USA. Comme beaucoup de personnes qui cherchent à investir dans d’autres moyens que la pierre, le CAC40, les crypto ou l’or, il y a cette manne avec les startups qui sont choisies scrupuleusement par Gabriel. Gabriel traite environ 3000 dossiers par an (pour pouvoir y investir avant les très grandes entreprises). Sa méthodologie est très stricte. En tant que membres du club, on a tous accès à poser des questions, à avoir des vidéos des créateurs de startups. Donc si vous aussi vous recherchez des moyens d’investir pour espérer faire de belles culbutes tout en étant patients, vous aurez le choix en rejoignant le club de participer à des deals très prometteurs pour l’avenir. Des deals dans des sociétés comme Abritel ou Airbnb par exemple, qui ont connu des x50, x100, voire x1000. C’est très simple, si vous investissez 2000e et que vous faites un x100, faites le calcul (même s’il y a une part d’impôt à payer et un pourcentage pour l’investisseur de base du choix, qui est Gabriel). Quand on voit par rapport à la pierre ou à la bourse, le calcul est vite fait. Le risque en vaut la peine. Enfin, c’est ce que je pense.” (Nicolas)