Les meilleurs partent les premiers.
Le 28 novembre dernier, un (très) grand homme est décédé.
Cet homme fait partie de mes mentors en investissement (et plus globalement dans la vie).
Cet homme ? C’est Charlie Munger.
Même s’il est parti à 99 ans (un bel âge pour mourir), je t’avoue que ça m’a fait un petit pincement au cœur…
Charlie Munger est l’un des investisseurs américains les plus connus (et les plus riches).
C’est l’un des meilleurs amis de Warren Buffett, un autre investisseur de génie qui m’inspire énormément.
(Ils étaient associés en affaires via Berkshire Hathaway.)
J’adore ces deux personnes.
Elles ont eu une énorme influence sur mon business et moi.
L’un des concepts qu’ils prônent (et qui m’a le plus marqué), c’est celui de se créer un “actif”.
C’est-à-dire quelque chose qui prend de la valeur dans le temps.
Comme investir dans l’immobilier.
Ou dans la bourse.
Ou encore dans les actions d’une société.
En partant de leurs conseils, j’ai voulu moi aussi me créer des “actifs” qui prennent de la valeur dans le temps.
C’est mon leitmotiv au quotidien.
C’est pour ça que j’aime aller dénicher des startups qui ont le potentiel de devenir ces actifs.
Et c’est aussi pour ça que j’ai moi-même créé non pas une startup, mais 7 !
Eh oui {{ subscriber.first_name }}, avant de créer Leonis, j’ai créé 7 startups.
Sur ces 7, j’en ai revendu 3 (j’en suis fier, car ça n’arrive pas tous les jours pour un entrepreneur).
Si tu fais le calcul, ça veut dire que j’en ai aussi échoué 4.
Et j’ai au moins autant appris de mes 4 “échecs” que de mes 3 “réussites”.
Mais ce n’est pas le sujet de cet email (une autre fois peut-être ?).
Car j’aimerais te partager une autre leçon que m’ont appris ces grands messieurs que sont Charlie Munger et Warren Buffett.
Cette leçon ?
Je l’aime beaucoup parce qu’elle est contre-intuitive.
En fait, c’est plus une règle d’or (en investissement) plutôt qu’une leçon.
C’est une règle d’or que la majorité des investisseurs négligent (et ils s’en mordent les doigts).
Pourtant, Warren et Charlie l’ont comprise depuis des décennies.
Et c’est en partie grâce à elle qu’ils ont généré des net worth à 12 chiffres.
Cette règle est la suivante :
En investissement, plus tu prends de décisions, plus tu perds de l’argent.
Je dis souvent que c’est comme une savonnette : plus tu y touches, plus ça rétrécit.
La majorité des investisseurs pensent (à tort) qu’il faut se démener dans tous les sens pour faire des rendements.
Et la plupart d’entre eux (notamment en bourse ou en crypto) font des opérations régulières, finissent par payer trop de frais, et manquent tous les intérêts composés…
(D’après tonton Warren, les intérêts composés sont la 8ème merveille du monde.)
La majorité des investisseurs sont donc beaucoup trop pressés.
Au contraire, les investisseurs légendaires comme Warren et Charlie décrivent leur activité comme « Lethargy Bordering on Sloth » : de la léthargie, à la limite de la paresse…
Ils ont compris que le marché récompensait l’inactivité.
Pour te le reformuler : l’investisseur malin est conscient du temps long.
Ceux qui gagnent vraiment en investissant dans des entreprises font 2 choses :
1 – Ils sélectionnent scrupuleusement celles qui ont les meilleurs fondamentaux (sur la base de critères rigoureux).
2 – Puis ils n’y touchent plus, et laissent le temps faire son travail.
C’est le value investing (un concept si cher à Warren et Charlie).
Concrètement, si tu investis aujourd’hui comme moi (et mes 2 mentors) dans des sociétés ayant des fondamentaux solides, toutes les fluctuations ne sont que des accidents de parcours.
Le tout est de réussir à identifier précisément ces fondamentaux (c’est là tout le but de mon travail de screening basé sur mes 9 critères exclusifs
Et suffisamment tôt…
Car si tu arrives après la bataille et que la boîte est déjà bien lancée (par exemple en ayant été rachetée ou en ayant fait une IPO), tes perspectives de gains diminuent drastiquement.
Ce n’est pas gênant si tu as des milliards à investir comme nos 2 compères.
Mais si tu es comme moi, il te faut viser un multiple bien supérieur.
C’est pour cette raison que j’investis avec la même logique que Warren et Charlie, mais à une différence près : je le fais avec les startups.
Donc j’investis avant tout le monde, en seed (levée de fonds initiale).
Dans des boîtes qui peuvent grossir ensuite de +50% par mois, voire plus.
Comme Metriport, une startup du portefeuille Leonis, qui a fait +137% de MRR en 1 mois (lors du dernier update).
Et ensuite ? Il me suffit d’attendre que mes startups fassent un exit (rachat ou IPO).
Tu n’as pas le choix avec l’investissement en startup : une fois que tu as investi dedans, tu ne peux plus y toucher.
Donc tu n’es pas tenté de revendre, racheter, etc. (et quel soulagement !).
De temps en temps, tu reçois des reportings de la startup pour savoir où ils en sont (comme les news que je te partage dans mes emails d’update sur les startups du portfolio Leonis).
Et c’est tout.
Tu peux te concentrer sur d’autres choses.
Comme dénicher de nouvelles startups prometteuses.
Ou juste profiter de la vie et laisser les salariés des startups faire tous les efforts pour faire grossir ton capital.
Tu veux faire comme Warren Buffet et Charlie Munger, mais en seed (pour viser des multiples encore plus importants) et dans la Fintech US (avec des gains potentiellement infinis, car scalables) ?
Dans ce cas, le Club Leonis va te plaire. C’est exactement dans cette philosophie que j’investis avec les 700 membres historiques du Club.
(D’ailleurs, je ne propose que des boîtes ayant passé la barre du 9/9 à mes critères et j’y investis systématiquement mon propre argent).
Prends ta place en cliquant sur ce lien et construisons ton patrimoine dès cette année.
Mais si tu préfères qu’on en parle directement ensemble toi et moi, alors tu peux booker un appel de 30 min dans mon agenda.
Attention : c’est réservé aux investisseurs un minimum sérieux. C’est-à-dire que tu dois avoir l’ambition de faire fructifier ton capital dans la durée.
Tout en ayant l’envie de devenir actionnaire de startups qui ont tout pour changer le monde et pour faire partie de notre quotidien dans quelques années (comme Stripe, Dropbox, Airbnb, Twitch et bien d’autres).
Plutôt une bonne résolution pour 2024, non ?
Ça te parle ? Alors clique ici pour qu’on continue cette discussion de vive-voix.
Prends soin de toi (et de ton portefeuille),
Gabriel
