Le piège de la retraite : bien investir pour la préparer

Tout miser sur la retraite lointaine pour enfin « vivre »

Je ne comprendrai jamais les gens qui se résignent à une vie qu’ils n’aiment pas.

Prends mon cousin, comptable dans un grand groupe connu à la Défense…

Sa vie, c’est un métro-boulot-dodo sans fin.

Et son boulot, c’est loin d’être une partie de plaisir.

La pression, les heures sup’, les réunions interminables… Tout ça pour un salaire qui ne compense pas réellement son investissement personnel et son stress quotidien.

C’est lui qui le dit, pas moi.

À chaque retrouvaille, un sujet revient inlassablement sur le tapis : la retraite.

Il l’attend impatiemment (et m’en parle depuis des décennies déjà, alors qu’il a 43 ans).

Son rêve ? S’offrir un camping-car pour explorer la France avec sa femme, redécouvrir ces petits coins de nature à couper le souffle…

Mais il se sent « coincé » actuellement.

Il DOIT attendre d’avoir enfin du temps libre, à la retraite donc, pour réaliser ce rêve.

Et pourquoi ça ?

Parce que, pour lui, être comptable, c’est tout ce qu’il peut et sait faire.

Même si ça veut dire se lever à 6h20 le matin, prendre le RER A, traîner les pieds au travail, et répéter tout ça. Encore et encore. Jour après jour.

Il est résigné. J’ai essayé de lui expliquer, mais c’est peine perdue (et tu sais que je ne force jamais les gens)…

Il croit fermement qu’il n’a pas d’autres choix (que d’attendre désespérément la retraite pour ENFIN vivre).

Et là, je t’avoue, je bloque…

Si j’étais à sa place, je passerais chaque moment de mon temps libre à découvrir comment faire de l’argent tout en baroudant dans mon camping-car (vu que c’est son rêve).

Ça pourrait vouloir dire évoluer en interne pour un poste permettant de bosser en télétravail…

Ou monter mon propre business de consulting pour les entreprises du CAC 40…

Ou encore acquérir une nouvelle compétence, celle qui me permettrait de bosser de n’importe où (surtout que c’est possible aujourd’hui).

Et en parallèle, j’investirais dès maintenant pour me créer petit à petit un portefeuille solide (dans le but de me libérer des contraintes imposées par un job qui sert juste à payer les factures).

Bien sûr, je choisirais d’investir dans les (meilleures) startups US.

Parce que ça permet de se constituer un patrimoine sans devoir attendre la retraite pour profiter de la vie (tu peux viser des exits juteux à horizon 5-7 ans si tu investis aujourd’hui dans les startups du Y Combinator de la Silicon Valley).

Dans tous les cas, que tu décides de changer ton quotidien pro’ ou de te créer un patrimoine (en investissant en startups ou non), les options sont nombreuses.

Il y a même un océan de possibilités.

Ce qui est sûr, c’est que tu n’as pas besoin de patienter jusqu’à la retraite pour savourer la vie.

Car c’est faisable. Là, maintenant, tout de suite.

Mais pour ça, il y a une condition : il faut laisser tomber cette mentalité de « bosser d’abord, vivre plus tard ».

Ça n’a l’air de rien dit comme ça. Et pourtant, c’est ce qui fait toute la différence entre les 10% des gens qui profitent de leur vie et les 90% qui la subissent tous les jours (avec l’espoir d’en profiter enfin quand ils seront à la retraite).

C’est cette mentalité qui entrave mon cousin.

Si tu lis ce mail, c’est sans doute que tu refuses cette mentalité. Toi, tu as compris qu’il fallait profiter maintenant tout en te créant un patrimoine petit à petit pour préparer ta retraite**.**

C’est triste à dire… mais il y a beaucoup de gens au cimetière qui n’ont pas eu la chance d’arriver jusqu’à la retraite. Et qui ont bossé toute leur vie pour ne jamais en profiter.

(J’ai perdu une tante comme ça, cancer foudroyant, partie en quelques semaines, à 2 ans de la retraite…)

C’est d’autant plus important quand tu sais que l’âge de départ à la retraite est amené à reculer en continu (avec des pensions plus faibles).

Ce n’est pas du tout un scénario pessimiste.

C’est déjà une réalité même…

De plus en plus de personnes âgées n’arrivent plus à (sur)vivre juste avec la retraite.

Ils doivent cumuler un emploi en parallèle de leur pension de retraite (comme aux États-Unis).

On a clairement vu mieux si tu avais pour projet de “profiter” à fond de ta retraite…

Mon conseil : n’attends pas passivement la retraite pour profiter,

Prépare-toi personnellement à te créer ta propre retraite (tout en profitant de la vie au passage).

Tu peux faire des actions dans ce sens dès maintenant.

Construis des rentes passives et un patrimoine dans la durée.

Et crée-toi une vie qui te fait vraiment vibrer.

C’est à portée de main.

Il suffit de décider. Et d’agir.

J’espère que tu le feras.

Et si tu veux commencer aujourd’hui à te créer un portefeuille solide en investissant dans le top 1% des startups mondiales (qui ont plus de chance de rapporter que la Bourse ou l’immobilier, si tu retires le ticket d’entrée élevé habituel)…

La porte du Club Leonis t’est ouverte.

Au plaisir de te compter parmi nos 700 investisseurs malins qui ont décidé de prendre en main leur vie et leur retraite.

Prends soin de toi (et de ton portefeuille),

Gabriel

PS : Si tu veux commencer par découvrir ma stratégie complète, avec mes critères de sélection pour dénicher ces 1% des meilleures startups (et mes secrets d’investisseurs)…

Je donne tout dans mon nouveau livre, qui est disponible dans toutes les librairies.

3500 investisseurs malins ont lu mon premier livre (préfacé par Xavier Niel, 9ème fortune française).

Ma mission : Te donner accès aux investissements réservés aux ultra-riches et créer 1000 millionnaires.

Tu veux investir dans les meilleurs startups de la Silicon Valley ?

Tu veux investir dans des deals exclusifs de business angels… pour une fraction du prix ?

Commence comme nos 700 membres historiques dès maintenant, juste ici…

J’investis dans les startups

 Nos 21M$ investis au Y Combinator en 3 ans valent aujourd’hui 49M$ (soit x2,5 et +50% de rentabilité annuelle).

“J’ai rencontré Gabriel dans un autre club privé. Il était plébiscité par plusieurs chefs d’entreprises qui avaient investi avec lui. Moi j’avais fait la pierre et le CAC40, je voulais faire des startups, américaines de préférence. Gabriel est tombé à pic, avec sa méthode rigoureuse et ses deals exclusifs du Y Combinator. J’en suis à ma 3ème startup, et j’adore l’activité dans le club, la disponibilité. Si vous voulez diversifier, je recommande fortement.”

(Michaela, 52 ans, directeur stratégique)

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *