J’imagine que tu as déjà vu passer ce genre d’engin :
(Ou au moins à la télé ? )
C’est un Segway.
Ou plus exactement, c’est un gyropode (car Segway est le nom de l’entreprise qui a lancé ce produit).
Le Segway est une superbe idée sur le papier.
Une idée qui avait tout pour réussir lors de son lancement en 2001.
Si bien que les fondateurs imaginaient déjà le monde entier se déplacer en utilisant leur gyropode.
Mais ils ont oublié un élément essentiel : ce que pensent les utilisateurs du produit.
Et c’est terrible à dire, mais tu as l’air d’un gros fainéant quand tu te déplaces avec ça.
Il n’y a pas ce côté cool comme avec la trottinette ou le skate.
Donc les gens ont boudé le Segway (pour se déplacer avec tous les jours).
Et c’est pour ça que le Segway a été un fiasco : il n’y a pas de marché.
(Même si le business model et la monétisation de l’entreprise avaient été validés.)
Heureusement pour Segway, ils ont su rebondir en vendant leurs gyropodes dans d’autres industries (essentiellement pour les visites touristiques).
Mais ça ne représente qu’une infime fraction de leurs ambitions au départ…
Le Segway aura au moins eu le mérite d’ouvrir la voie à d’autres formes de mobilité électrique.
C’est d’ailleurs pour ça que l’entreprise se concentre bien plus sur les trottinettes électriques que sur les gyropodes aujourd’hui.
(Fun fact sur Segway au passage : Jimi Heselden, le PDG ayant racheté l’entreprise en 2009 est décédé l’année d’après à la suite d’une chute dans une rivière, alors qu’il était aux commandes… d’un Segway. Cette histoire a dû faire encore plus de mal à la marque.)
Pourquoi je te parle de tout ça ?
Pour te montrer que si tu es fondateur d’une startup, tu as beau avoir la meilleure idée au monde.
Cette idée (et ta startup) ne vaut rien s’il n’y a pas de marché.
Autrement dit : pas de marché = faillite assurée.
Dans l’investissement en startups, le “où” est aussi important que le “quoi”.
Et si tu es un investisseur en startup dont le but est de maximiser ton rendement (comme moi), il est indispensable que tu investisses dans des marchés porteurs.
(Que ces marchés soient en démarrage, en croissance ou en phase de disruption.)
C’est pour ça que l’étude du marché fait partie de mes 9 critères d’investissement Leonis.
(Ce sont les critères que je valide systématiquement avant de te proposer d’investir dans une startup à mes côtés. Je veux du 9/9. Sinon j’écarte d’office la boîte et tu n’en entends même pas parler. En tout cas pas par moi…)
Mais comment reconnaître un marché juteux (soit déjà prouvé, soit prêt pour le produit de la startup) ?
Déjà, garde en tête qu’il te faut investir uniquement dans un marché en croissance et/ou innovant (même s’il est en phase de démarrage)
Tu peux aussi investir dans un marché qui n’existe pas actuellement mais en pariant qu’il y en aura un bientôt.
Mais dans ce 2e cas, c’est bien un pari.
Et je n’aime pas investir (mon argent et celui des membres Leonis) au doigt mouillé. ☝️
Car je sais que c’est super dur de créer un nouveau marché (et de la demande pour un produit).
Si la startup se rend compte en cours de route qu’il n’y a pas du tout de marché, tu ne peux rien faire.
Il ne te reste alors que tes yeux pour pleurer.
Comme Segway (et encore, ils ont réussi à vendre leurs engins aux guides touristiques).
C’est pour cette raison que je me méfie des nouveaux marchés (et plus globalement des “nouvelles tendances”).
Comme l’IA (Intelligence Artificielle) en ce moment.
Ou comme internet avant elle, les ordinateurs, etc.
La bulle internet a fini par exploser et 90% des “startups internet” ont disparu du jour au lendemain.
Pourtant, je ne dis pas le contraire : plus de 20 ans après, des succès et des fortunes se créent encore sans arrêt sur la base d’internet.
On n’a donc pas besoin de se positionner sur les premières boîtes (et d’essuyer les pots cassés).
On a besoin de prendre les bonnes décisions.
Facebook n’était pas le premier réseau social.
Google n’était pas le premier moteur de recherche.
Pour qu’une boîte positionnée sur un “nouveau marché” (comme une “startup IA”) ait mon intérêt, il faut vraiment qu’elle sorte du lot.
(Autrement dit : elle doit impérativement valider mes 9 critères. Car je passe mon temps à ne sélectionner que les meilleurs projets sur des fondamentaux extrêmement solides depuis 10 ans.)
Je préfère largement investir dans des startups positionnées sur des marchés matures mais en croissance (2e option).
Comme dans les applications mobiles.
Où tu sais qu’il y a 4 milliards d’êtres humains connectés, mais à terme 10 milliards et une utilisation en augmentation continue (même pour ceux déjà connectés aujourd’hui).
Surtout quand ces applications sont dans des secteurs particulièrement lucratifs.
Comme Alinea (un deal Leonis de fin d’année dernière), qui propose une app pour les femmes américaines qui veulent investir et mieux gérer leurs économies.
Leur marché est évalué à des dizaines de milliards aux US (oui, il y a beaucoup de femmes intéressées par l’investissement aux États-Unis).
3e option : tu peux aussi investir dans une startup qui disrupte un marché existant (à condition que ce ne soit pas un marché en déclin !).
La disruption du marché bancaire est un bon exemple.
C’est le cas avec avec Pana (une autre startup Leonis), qui propose une solution simple de crédit et d’échange de devises à destination des Latinos aux US.
(La boîte a vu son volume de transactions faire x10 en 4 mois !)
A contrario, la disruption du marché du chèque est un mauvais exemple car le marché est en déclin.
(On m’a proposé d’investir dans une boîte sur ce marché. J’ai poliment refusé…)
Les exemples de marchés juteux qu’il est possible de disrupter (avec succès) ne manquent pas : internet, la finance, le SaaS, la blockchain, la medtech, la wearable tech (comme les lunettes de réalité virtuelle)…
Tu remarqueras qu’il y a beaucoup de “tech” dans ces exemples.
C’est normal.
J’investis presque exclusivement dans des startups de la tech (plus précisément de la fintech).
En plus d’être sur des marchés porteurs, ces boîtes ont des potentiels de croissance infinies.
Par exemple, un SaaS (logiciel via abonnements) qui veut passer d’1 client à 100 000 n’a pas a multiplier ses frais de fonctionnement par 100 000.
C’est bête. Mais c’est ce qui permet à ta startup d’avoir le potentiel de se faire racheter x10, x100, voire x1000 dans quelques années.
C’est encore plus vrai si si tu investis aux USA, là où tout se joue (il y a 32 fois plus de licornes qu’en France).
Et dans des startups du Y Combinator de la Silicon Valley (le YC, ce sont des potentiels records : en early stage, des boîtes comme AirBnB ont fait x31000 sur leur entrée en bourse, et le taux d’exit du YC au global est de 37% après 12 ans, soit plus d’1 boîte sur 3).
**Rejoins le Club Leonis pour accéder à des opportunités d’investissement dans des startups positionnées sur des marchés en pleine croissance (ou prêtes à les disrupter).**
(Et où les utilisateurs de leurs produits n’ont pas l’air de fainéants ! )
Tu as du mal à voir si le Club est vraiment fait pour toi ou non ?
C’est normal. Moi aussi j’aurais un paquet de questions si on me proposait d’investir dans les startups qui domineront les marchés les plus lucratifs.
C’était également le cas des 700 membres historiques de Leonis.
Dans ce cas, le mieux que je puisse te proposer, c’est qu’on s’appelle (30 minutes maximum) pour faire le point ensemble. Je répondrai avec plaisir à toutes tes questions.
Si tu es un investisseur sérieux, réserve un créneau juste ici (je n’en ai plus beaucoup en ce moment, car je passe beaucoup de temps à m’entretenir avec les fondateurs des startups du batch 2024 du YC…).
Prends soin de toi (et de ton portefeuille),
Gabriel
PS : Si tu veux commencer par découvrir ma stratégie complète, avec mes critères de sélection pour dénicher ces 1% des meilleures startups (et mes secrets d’investisseurs)…
Je donne tout dans mon nouveau livre, qui est disponible dans toutes les librairies.
3500 investisseurs malins ont lu mon premier livre (préfacé par Xavier Niel, 9ème fortune française).
Ma mission : Te donner accès aux investissements réservés aux ultra-riches et créer 1000 millionnaires.
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Nos 24M$ investis au Y Combinator en 3 ans valent aujourd’hui 50M$ (soit x2,1 et +27% de rentabilité annuelle).
“J’ai d’abord suivi la chaîne Youtube, puis la newsletter. Je suis également passé par le club BAA avant de rentrer dans le club Leonis et j’ai pu constater ce qu’on pouvait entrevoir depuis l’extérieur. Gabriel permet à ses membres d’investir dans des opportunités exclusives extrêmement prometteuses et qualitatives grâce à l’expertise et au réseau qu’il s’est bâti depuis plusieurs années au sein de l’écosystème start-up plus particulièrement celui de la Silicon Valley et du Y Combinator. En partie aussi grâce à ses critères, que j’ai découvert ses critères dans son livre, ce qui m’a convaincu. La deuxième force du club c’est sa communauté qui rassemble des membres qui ont une grande expertise dans différents domaines comme l’immobilier, les marchés financiers, l’entrepreneuriat, le droit des entreprises, la fiscalité, etc. Libre à chacun le pouvoir se positionner ou non en fonction de ses convictions sur les deals proposés, contrairement à un fonds d’investissement qui va choisir les projets à notre place. Je dirais que si tu as une assise patrimoniale et financière suffisamment confortable et que tu souhaites diversifier ton portefeuille d’actifs, et que bien sûr tu t’intéresses à l’univers startup, et bien je t’invite à vivement à nous rejoindre dans le club.”
(Guyane, décembre 2022)