Tu veux savoir ce qui m’a le plus choqué quand j’ai commencé l’investissement en startups ?
Ce n’était pas d’être bloqué devant la décision d’investir ou non (dans chaque deal qui se présentait à moi).
Ni d’analyser des chiffres qui sortent de l’ordinaire.
Ce qui m’a le plus interpellé quand j’ai cherché à investir dans des startups ?
C’est qu’il était impossible pour Mr Tout le Monde d’investir dans les bonnes startups.
Et c’est encore le cas aujourd’hui !
Oui, tu as bien lu.
Le grand public n’a pas la possibilité d’investir dans les meilleurs deals (c’est-à-dire les deals qui ont le plus de chance de multiplier tes gains).
À mes débuts, j’ai été très vite confronté à un problème de taille : l’absence de deal flow de qualité.
(Le deal flow, c’est ta capacité à accéder à des opportunités d’investissement dans des startups vraiment intéressantes. Donc sans deal flow, tu n’es pas un “vrai” investisseur.)
C’est cruel (et injuste).
Mais c’est comme ça que ça marche.
Si tu n’as pas un gros réseau, auprès des bonnes personnes, tu ne peux tout simplement pas rentrer dans les bons deals.
Les seuls deals auxquels tu peux accéder dans ce cas, c’est sur certaines plateformes de financement participatif.
Le souci, c’est que les dossiers n’y sont pas terribles en général (il s’agit la plupart du temps de startups que tout l’écosystème a déjà refusé).
(J’analyse régulièrement des startups issues de plateformes sur ma chaîne YouTube.)
L’autre option, c’est de mettre des très gros tickets (à plus de 100 000 euros) pour rentrer dans des VC (fonds en capital risque).
Tout en ayant aussi les bons contacts chez eux.
Donc oui, accéder aux meilleurs deals est inaccessible pour le grand public (puisqu’il faut du réseau et de l’argent, beaucoup d’argent).
Je trouve ça super frustrant.
Car l’investissement en startup est le type d’investissement qui surperforme les autres actifs.
Il est (très) loin devant la bourse ou l’immobilier par exemple.
(Et je ne parle même pas du Livret A et des autres formes d’”investissement” proposés par les banques…)
(Source : FranceInvest)
C’est d’ailleurs pour ça que l’investissement en startup est élitiste.
C’est un cercle très fermé.
Et les seuls qui se “gavent” depuis des années sont ceux qui sont déjà riches à la base (et qui ont les bons contacts).
Quand j’ai découvert tout ça avec mes petits investissements au début, j’ai halluciné.
Même si on te parle de “Startup Nation” à la télé, le monde des startups reste un milieu inaccessible au citoyen lambda.
(Et pas qu’en France d’ailleurs, on retrouve ça partout.)
Les bons deals se font « off market ».
Off market, ça veut dire hors marché.
C’est comme dans l’immobilier (oui, j’investis aussi dans l’immobilier en plus de Leonis).
Si tu as déjà acheté ou vendu des appartements (ou des immeubles), tu sais très bien que les bons coups ne sont pas sur Leboncoin.
Ils n’ont même pas le temps d’arriver en ligne qu’ils sont déjà verrouillés par les spécialistes du secteur.
C’est exactement la même chose dans les startups.
Les meilleures startups se tournent en priorité vers les business angels connus et les VC.
Pas vers les plateformes de financement participatif accessibles à tout le monde.
(Les startups aux fondamentaux solides savent très bien qu’elles n’ont pas besoin de ça. C’est triste à dire, mais dans ce milieu élitiste, il y a un côté “honteux” à se faire financer par Monsieur Tout le Monde…).
De ton côté, si tu veux avoir accès à des deals exclusifs et vraiment intéressants, tu dois avoir du réseau (ou appartenir au Club Leonis !).
C’est ce que j’ai vite compris quand je me suis lancé dans ce milieu.
N’ayant pas de deal flow (ni beaucoup d’argent) à la base, j’en ai vécu des galères pour aller chercher les bons contacts.
D’abord en France, via le club d’investissement de mon école d’ingénieur.
Puis dans l’un des clubs les plus prestigieux de France (soi-disant).
Avant d’aller pousser les portes dans la Silicon Valley (la Mecque des startups, où il y a beaucoup plus de potentiel qu’en France !).
Et quand j’ai commencé à avoir accès à de bons deals, il me manquait toujours des fonds pour investir (et intéresser réellement les fondateurs de startups).
C’est là que j’ai décidé d’investir en collectif.
Avec quelques amis, on s’est réunis pour proposer des sommes bien plus importantes que tout seul, chacun de notre côté.
On a ainsi pu avoir accès à des deals exclusifs, auprès de startups vraiment intéressantes (que je sélectionnais attentivement via mes 9 critères : je n’avais pas le droit à l’erreur, car je ne disposais pas de centaines de milliers de dollars à investir…).
Le Club Leonis était né.
En créant le Club, j’ai aussi donné l’opportunité aux investisseurs particuliers de rentrer dans les mêmes deals que moi (et dans les mêmes conditions).
De façon à ce que tous les investisseurs malins (et un minimum ambitieux) puisse profiter de cet écosystème incroyable.
En investissant avec moi, tu as maintenant accès aux meilleurs deals du Y Combinator.
Le Y Combinator (ou YC pour les intimes) ?
C’est le plus grand incubateur au monde, où sont passés Stripe (100 Mds$), Airbnb (94 Mds$), Dropbox (11 Mds$), Coinbase (38 Mds$), Twitch (Acq. Amazon 1 Mds$), et tant d’autres qui font maintenant partie de ton quotidien.
Le YC, c’est aussi des records : en early stage, des boîtes comme Airbnb justement ont fait x31 000 sur leur entrée en bourse.
Et le taux d’exit du YC au global est de 37% après 12 ans (plus d’1 boîte sur 3).
Derrière j’applique mes propres critères, afin d’identifier de véritables pépites (je n’investis que dans des projets 9/9).
Depuis plus de 3 ans d’investissement exclusif au YC, les 24M$ investis par les membres du Club Leonis valent aujourd’hui 50M$ (soit x2,1 et +27% de rentabilité annuelle).
Alors si tu veux diversifier ton portefeuille et investir dans des placements qui rapportent, je t’invite à prendre ta décision de nous rejoindre.
Car, pendant que tu réfléchis, tu es en train de louper des deals…
**Clique ici pour rejoindre le seul Club qui te permet d’investir au Y Combinator en francophonie et prend ton ticket pour nos deals exclusifs dans la Silicon Valley.**
Prends soin de toi (et de ton portefeuille),
Gabriel