Salut,
J’étais invité à plusieurs événements à San Francisco (notamment avec le Y Combinator) au printemps dernier.
J’ai eu l’occasion d’être dans la même pièce que Garry Tan (l’actuel président du YC), l’équipe, et d’autres investisseurs américains de renom.
C’était le premier événement physique depuis le COVID.
J’y ai rencontré les startups de l’incubateur.
3 nouveaux deals en sont sortis.
(Et j’ai même testé les nouvelles voitures autonomes de Cruise – un des plus gros exit du YC – en plein San Francisco.)
Dans cet email, je vais donc te partager les dernières nouvelles du front (car oui, je te le confirme plus que jamais : la Silicon Valley, c’est bien “le front” mondial en matière d’investissement en startups.)
Ce que je vais te dire va changer ta vision des choses si tu t’intéresses à l’investissement en startups (que tu aies déjà commencé à investir ou non).
Car je vais te partager (en exclusivité) les coulisses de ce qui se passe actuellement dans le meilleur incubateur à startups du monde.
Pour rappel : le Y Combinator (YC) est le célèbre accélérateur de startups qui avait incubé Airbnb (capitalisation boursière de 104 milliards de dollars), Stripe (65 milliards de dollars) et DoorDash (53,7 milliards de dollars).
(Source)
Ce que je peux te dire ?
C’est que Garry Tan (ancien investisseur en capital-risque et nouveau PDG du YC depuis 1 an) a sabré dans les programmes dans le but de redonner toute sa splendeur au YC.
Sa mission depuis sa prise de fonction est claire : restaurer le statut de Mecque des startups et augmenter l’efficacité des programmes du YC.
(Ces programmes sont destinés aux fondateurs des startups que le YC soutient, pour qu’ils apprennent tout ce qu’il faut pour faire décoller leur entreprise en 3 mois.)
Tan affirme que c’est la qualité de ces programmes qui explique le succès des boîtes soutenues par le YC.
Comme il le dit : “Nous apprenons aux ingénieurs à vendre”.
Dans ces programmes, des pointures comme Dalton Caldwell les aident à répondre à des questions comme :
- Est-ce que je travaille sur la bonne chose ?
- Que veulent les gens ?
- Comment travailler avec mon cofondateur ?
- Comment puis-je obtenir des utilisateurs ?
“Ce sont des choses basiques”, a déclaré Caldwell à Forbes.
Avant d’ajouter : “J’ai financé 1 000 entreprises. C’est comme si j’étais un grand modèle de langage formé sur toutes ces données”.
(Source)
En parallèle, il y a eu plusieurs licenciements internes pour “alléger” l’incubateur.
Comme le résume Forbes (dans cet article) :
(Traduction : “À l’intérieur de la « Boom Loop » du Y Combinator : l’usine de startups devient plus brutale, plus maigre et plus agressive”.)
C’est sûr que ça ne plaît pas à tout le monde…
Mais ce que j’aime chez Garry Tan, c’est qu’il a une vision globale pour faire avancer le YC dans la bonne direction.
Par exemple, il est également super investi pour redorer le blason de la ville de San Francisco.
Depuis son nouveau siège social dans le quartier Dogpatch de SF, Tan projette l’influence du YC dans toute la ville comme jamais auparavant (notamment en organisant plus d’événements publics).
Certains s’inquiètent du fait que Tan amène le YC sur une voie plus politisée et agressive.
Pas moi.
Je pense comme Brian Chesky (cofondateur et PDG d’Airbnb et membre du conseil d’administration de YC depuis 2022), qui a déclaré : “C’est un véritable défenseur des fondateurs et un véritable croyant. Les fondateurs gravitent autour de lui”.
Même Altman (fondateur d’OpenAI et ex-président du YC) a déclaré qu’il soutenait la campagne de “recentrage”.
Altman a aussi cité un fondateur à qui il avait récemment demandé un verdict rapide : “Le YC se sent vraiment de retour.”
(Pour info, voici l’article Forbes dont j’ai tiré ces déclarations.)
Et le résultat de tout ça, c’est quoi ?
C’est un nombre record de 27 000 entreprises qui ont postulé au YC pour le dernier batch.
Parmi les 260 entreprises acceptées (moins de 1% !), les fondateurs se sont déclarés satisfaits de leur expérience avec le YC jusqu’ici.
Par exemple, Umur Cubukcu (qui a vendu son ancienne entreprise à Microsoft et qui est de retour avec la startup Ubicloud) a affirmé que “le programme reste le meilleur endroit pour permettre aux fondateurs de créer ensemble un premier produit”.
Il a précisé que les nombreux fondateurs du YC (au fil des promo’ successives) ont la possibilité de se tourner vers leurs collègues pour en faire leurs premiers clients et contacts-clés.
Entre eux (partenaires et anciens élèves), “il y a des dizaines de millions de dollars de potentiel”, a dit Cubukcu.
Faut-il pour autant accepter davantage de startups qui postulent au YC ?
Tan a rejeté l’idée d’augmenter le nombre des startups acceptées (simplement pour en avoir plus dans leur portefeuille).
Ce n’est pas McDonald’s. Il s’agit en fait de The French Laundry”, a-t-il déclaré, évoquant le restaurant exclusif de Napa Valley ouvert par le chef sept étoiles Michelin Thomas Keller.
Ça a le mérite d’être clair !
Maintenant, il y a une autre info (de taille) que je dois te partager.
Pendant que le dernier batch de startups du YC sont en train de lever des fonds auprès d’investisseurs, le PDG Garry Tan est lui aussi occupé à pitcher auprès d’investisseurs…
Mais il pitche sur le YC lui-même !
Car Tan espère lever au minimum 2 milliards de dollars pour le YC (selon Forbes) !
(Pour info, le YC a déjà levé 2,2 milliards de dollars auprès de 2 fonds en 2021.)
Que Tan puisse lever à nouveau 2 milliards de dollars (ou même plus) d’un seul coup, sous un même horizon temporel, est un excellent signe pour l’avenir du YC (et de tous ceux qui investissent dans leurs startups).
Et je te rappelle au passage qu’en tant qu’accélérateur de startups, le YC investit 500 000 $ dans chaque entreprise participant à son programme.
Oui, ça aide les fondateurs pour tout cartonner derrière !
Comme le dit Garry Tan lui-même :
Comme tu le vois, ça bouge beaucoup au YC en ce moment.
Et dans le bon sens (pour les investisseurs comme nous).
Si tu veux investir dans le meilleur incubateur pour profiter de cette vague de changements positifs, il n’y a pas 36 solutions.
En fait, il n’en existe qu’une seule en France.
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Gabriel
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On se retrouve “de l’autre côté”.
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Ce qui m’a tout de suite plu chez Leonis, c’est cette volonté de transparence et de proximité avec les investisseurs. On a la chance d’organiser des visio-conférences avec les fondateurs et de recevoir des mises à jour régulières après notre investissement. On a vraiment le sentiment d’être impliqué, d’avoir un réel aperçu de la gestion de la start-up et de voir comment elle évolue au fil du temps.
Un des gros avantages du club est indéniablement l’accès à ces deals, auxquels on n’aurait pas accès autrement. Et le fait de pouvoir investir avec des montants relativement faibles, ça permet de diversifier ses investissements sur plusieurs start-ups.”
(Jérémy, employé en startup)