Si le YC était un fond, il aurait un retour de 176%

Si tu avais investi en continu sur le S&P 500 sur 10 ans, tu aurais fait x2,5 sur ton investissement.

Car le S&P 500 a obtenu un rendement moyen de 10% par an (depuis sa création en en 1957).

(On parle ici du montant combiné de la hausse des cours et des dividendes réinvestis.)

Faire plus de x2 en 10 ans (10% par an x 10 ans = x2.59 = +159%), c’est un très beau rendement.

Et ça s’explique parce qu’il ne s’agit pas de n’importe quel indice.

Le S&P 500 (pour Standard & Poor’s 500) suit les performances des 500 plus grandes entreprises américaines.

(En raison de sa large composition, c’est d’ailleurs un excellent indicateur du marché boursier américain dans son ensemble.)

Il est considéré (à juste titre) comme l’un des indices ayant les meilleurs rendements au monde.

Maintenant, si je te disais qu’il existe un “fonds” qui fait encore (beaucoup) mieux que le S&P 500…

Tu me crois ?

Bon, pour être honnête avec toi, ce n’est pas à proprement parler un “fonds d’investissement”.

Mais un incubateur à startups.

Ou devrais-je dire l’incubateur le plus prestigieux au monde.

Je veux bien sûr parler du Y Combinator (YC), dans lequel j’investis avec les membres du Club Leonis.

En clair : si le YC était un fond, il aurait un retour de 176%.

Car les investissements dans les startups du YC ont généré un rendement moyen annuel de 176%… par an !

(Donc presque x3.)

La preuve en image :

Ce graphique te montre les retours globaux sur les investissements dans les startups YC (en seed) par an.

(Note : les dernières années ne sont pas à prendre en compte car dans les 2 premières années d’une startup, il y a presque aucune chance de faire un exit).

Il montre 3 choses (en plus du rendement “lissé” de 176% au total que j’ai calculé) :

1 – Même les années “modestes”, comme 2010-2011, ont produit des rendements annuels moyens de 70 à 80 %.

2 – Mais les années “plus fortes”, comme 2012-2013, ont produit des rendements annuels moyens de plus de 300 %.

3 – Et l’année 2009 a été incroyablement folle, avec un rendement à plus 2 500 %

Cette année comprenait à la fois Airbnb et Stripe, deux startups qui ont littéralement explosées.

(Note d’ailleurs que c’était une année de récession. Comme quoi…)

Alors oui, 2009 a clairement été une année exceptionnelle.

Tu vas sans doute me dire que le rendement global du YC est tiré vers le haut grâce à Airbnb et Stripe. Et c’est vrai (c’est toujours comme ça dans les startups).

Mais ce ne sont pas uniquement ces 2 startups qui tractent le YC.

Il y a plein d’autres entreprises qui ont de très jolis palmarès, avec des croissances un peu plus modestes (en même temps, face à Airbnb et Stripe, toutes les boîtes sont plus modestes…).

Regarde le top 100 (et les multiples) des startups du YC :

(Tu remarqueras que même la 100e de la liste, Ajaib, réalise quand même un multiple de x100 environ.)

Il faut bien comprendre que les meilleures startups tractent tout le reste.

Mais c’est aussi valable dans tout autre fonds d’investissement et dans les indices boursiers.

Le S&P 500 aussi n’échappe pas à la règle, regarde :

Le top 100 des entreprises du S&P 500 (soit 20% de toutes ses entreprises) représente 70% de sa valeur totale.

Avec les géants qu’on connaît tous, comme Apple, Microsoft, Amazon et compagnie…

C’est ce qu’on appelle la “distribution en loi de puissance” (des retours sur investissement).

Autrement dit : une petite fraction de ces entreprises domine largement en termes de rendements.

On parle aussi de “puissance des décacornes”.

C’est-à-dire que ce sont les entreprises évaluées à plus de 10 milliards de dollars (10 fois plus de valeur que les licornes) qui dominent le tableau des rendements.

Et c’est parfaitement logique.

Pour revenir au YC, vu que les résultats sont dominés par les gagnants, il te faut donc investir dans les entreprises les plus performantes.

Logique aussi.

Tout l’enjeu est d’identifier ces “super startups” suffisamment tôt.

C’est là le cœur de mon travail de screening.

Ce travail repose sur mes 9 critères (à valider systématiquement pour optimiser nos chances de rendement avec les membres du Club qui investissent à mes côtés).

Regarde le track record qu’on a actuellement :

  • Le chiffre des faillites du portfolio Leonis est très bas : seulement 3% (2 faillites sur 57 deals réalisés).
  • Toutes les startups YC du club ont réalisé leur seed dans les 3 dernières années
  • Et 9/10 des startups du portfolio ont une croissance supérieure à 7%/mois (alors que le S&P 500 fait 10% par an en moyenne je te rappelle…)

Donc oui, je te le dis : investir dans les startups du YC optimise tes chances de faire x10, x100, voire x1000.

Mais la condition, c’est d’investir dans des startups avec des fondamentaux extrêmement solides qui réunissent des conditions précises :

  • Des startups aux USA (un marché où il y a 32x plus de Licornes qu’en France).
  • Des startups de la Silicon Valley issues du Y Combinator (l’incubateur le plus prestigieux du monde, qui a lancé des boîtes devenus des mastodontes, comme Stripe et Airbnb).
  • Des startups 100% tech (et donc 100% scalables, avec des perspectives de croissance et de gains quasi-illimitées).
  • Des startups sélectionnées avec patience et rigueur (en faisant par exemple 150 appels avec des fondateurs en 15 jours, lors du dernier Demo Day).
  • Des startups qui cochent 9/9 sur mes critères d’investissement.

Leonis est le seul moyen en France pour investir dans les startups du YC qui performent le plus.

Alors rejoins le Club si tu veux profiter de mon ticket d’entrée au YC et de mon process de screening (comme les 700 membres historiques du Club).

Nous pouvons aussi en discuter de vive voix (seulement si tu es un investisseur un minimum sérieux).

Dans ce cas, clique ici pour réserver un des créneaux qu’il me reste sur cette fin d’année.

Prends soin de toi (et de ton portefeuille),

Gabriel

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